lundi 28 décembre 2009

La Françafrique, c'est quoi ?

Ce texte m'a été envoyé par mail, il ne donne pas de lien vers un site web, mais le nom d'une association Survie et des extraits de documentaires.
Laura Asma aidée de :
« Noir Silence » de François-Xavier Verschave (économiste, président de l’association « survie ») édition les arènes
Article francesoir.fr
Documentaire de l’association SURVIE sur la FrancAfrique
Conférence audio d’Odile Biyidi (épouse de Mongo Béti, membre de l’association Survie)

Si ce texte existe sur un site web ou un blog, merci de m'en informer pour que je puisse le mettre en lien.

La Libye





Le dictateur libyen, oups ! pardon, le « Guide suprême de la révolution », Khadafi, a fait la superstar dans une fête à la démesure de sa mégalomanie pour célébrer les 40 ans de son accession au pouvoir., se réjouissant de son retour au premier plan sur la scène diplomatique.

Remerciements à ceux qui permettent à ce tortionnaire, considéré à la tête d’un État terroriste, de savourer une nouvelle virginité et des succès politiques retentissants. (joli chèque de 5 milliards de dollars de Sivio Berlusconi, libération d’un terroriste lybien en Angleterre …)

Le riche sol pétrolifère libyen, et de beaux avions de chasse aliènent certains esprits …

Au Gabon : Le roi est mort … Vive le roi !





Ali Bongo annonce sa large Victoire, Une précipitation qui est bien dans la tradition des scrutins présidentiels africains, mais fait craindre pour le maintien de l’ordre public dans ce petit « émirat » pétrolier d’Afrique centrale ,symbole de la « Françafrique » à l’ancienne.

A moins que le peuple soit devenue amnésique difficile de croire en cette victoire.

A. Bongo est-il soutenu par la France ? Bien que Sarcozy en démente, lui qui avait promis durant sa campane aux élections présidentielle d’en finir avec les réseaux parallèles de la FranceAfrique , la proximité de la 5ème république durant quarante ans avec le président Omar Bongo, père d’Ali Bongo, fait craindre que la France ne soit associée dans l’opinion à une victoire « imposée » de son fils

Robert Bourgi (disciple du défunt focart) admet clairement le soutien et l’aide apporté à la campagne présidentielle du Gabon, en faveur de Ali bongo.

Françafrique, Focart, Bongo, réseaux parallèles, de quoi je parle ici ?








D’un sujet que l’on veut enfouir, d’un silence noir et pesant, , et du sang qui sèchent bien trop vite en rentrant dans l’histoire, ; de secrets, de complots, et de victimes.

Parce que : …




  • Il existe un pays où depuis son palais, le chef d’état recrute librement des mercenaires et pilote des guerres civiles sur un autre continent.

  • Il existe un pays qui attise les conflits ethniques et déverse des armes sur des régions à feu et à sang, pour rester maître du seul vrai pouvoir : l’argent.

  • Il existe un pays qui, pour défendre ses intérêts ,autorise ses services spéciaux à s’allier , en terre étrangère, avec les réseaux mafieux et les milices d’extrême droite.

  • Il existe un pays où un candidat à l’élection présidentielle , deux fois ministre de l’intérieur, peut s’appuyer en toute impunité, sur les circuits des casinos et des ventes d’armes.

  • Il existe un pays, qui loin de ses frontières truque des élections et couvre l’assassinat de ses propres coopérants.


Ce pays c’est la France






Le continent humilié c’est l’Afrique, leur liaison incestueuse, c’est la Françafrique.






Qu’est ce que la FrançAfrique ?





La Françafrique été mis en place dans les années 60, au moment où De Gaulle, par la pression de l’histoire a du accordé l’indépendance aux pays d’Afrique .

Il a décrété une nouvelle légalité internationale, : l’indépendance, . Parallèlement, il a chargé son bras droit, Jacques Focard, de faire exactement l’inverse. Pour quelles raisons ? En 1960, c’est l’Indépendance et la France n’ accepte pas d’être diminuée dans son prestige , alors elle se donne pour but de :

  • Maintenir, le rang de la France, à l’ONU avec un cortège d’états clients. Dans ce dispositif de grandes puissances , les pays africains devaient être des satellites,

  • Maintenir l’accès, aux matières premières stratégiques, le pétrole, l’uranium, aux matières premières juteuses, comme le bois, le cacao, etc.…

  • Maintenir le financement occulte de la vie politique et des activités politiques du Gaullisme au départ, et puis de tous les partis politiques par la suite (de droite comme de gauche, pour ça , ils sont sur la même longueur d’onde !).


Il y a des chiffres de détournement de la rente pétrolière, ou du bois, qui représentent des centaines de milliards.

Et les affaires dont on nous parle en France sont des loto-paroissiaux, par rapport aux financements politiques, qui viennent de l’Afrique

  • 4) Garder le rôle de sous traitement de la France dans la guerre froide, au service du clan occidentale, afin d’empêcher une partie de l’Afrique, de basculer du coté du clan communiste,


C’est pour ces 4 raisons exactement que De Gaulle demande à Focard de faire en sorte que la règle soit inversée. « indépendance présumée »

Et lorsque que l’on décrète une nouvelle légalité internationale « l’indépendance », et que l’on fait exactement le contraire, c’est être dans l’illégalité., et cela ne peux se faire que d’une manière occulte.

Nous comprenons dés lors que toutes ces relations franco-africaines, sont très majoritairement cachées au yeux du public, parce qu’elles sont inavouables, puisque la nouvelle légalité est l’indépendance.

Pour assurer en même temps la continuation de ces régîmes, usés, mis en place par la FranceAfrique, on a trouvé une formule extraordinaire, de « coopération en iceberg ».

La françafrique : coopération en un iceberg







L’émergé





Vous avez 10%, d’émergé :



La France , patrie des droits de l’homme , amie de l’Afrique, généreuse. C’est la face immaculée des relation franco-africaines,

L’immergé



Et vous avez 90% d’immergé, qui est la réalité profonde de la réalité franco-africaine. C’est le système mis en place par Jacques Foccart, et qui vise à maintenir la DEPENDANCE de l’Afrique.

Quelle sont les moyens inavouables ?





Les moyens parallèles, illégaux, et inavouables de tenir ces relations françafricaines sont :

  • Un grand ménage


C’est Faire un grand ménage pour choisir des chefs d’état , amis de la France, souvent d’ailleurs, avec la nationalité française, parfois tout simplement, des agents des services français comme Omar Bongo, qui viennent souvent de France d’ailleurs.

« En gros , on a choisi des pro-consul à la peau noire ! »(Odile Biyidi)

De quelles manières nous les choisissons ?

  • Guerres / assassinats


Par une guerre civile épouvantable, au Cameroun, qui a fait entre 100 000 et 400 000 morts, digne du Vietnam, qui ne figure dans aucun manuel d’histoire.



Par l’assassinat de chefs d’état légitimes, élus par la population , sous la supervision de d’officiers français, chargés d’assurer leur sécurité !

La politique de domination a donc consisté à tuer, tous les leaders

Comme Barthélemy Boganda, le centre-africain , qui est mort, dans un accident d’avion, suspect..

Nous faisons donc, un grand ménage, les autres on les promu par la fraude électorale, ou par la corruption, bref … les moyens classiques…

  • Les trois « E «


Dés qu’il s’agit d’Afrique , l’état major fonctionne comme un état dans l’état, mal contrôlé par le pouvoir exécutif, pas du tout par le parlement, ni par la presse, encore moins par les citoyens.

Ainsi, le poids et la cohésion en Afrique a été mesurée en triangle de trois « E «

Elf , Elysée , Etat Major

Ce système est ainsi tenue par un ensemble, de mécanismes parallèles, , une présence de mercenaires ,d’ entreprises issus des services secret français, comme ELF. entreprise politico-militaro-financiaro-pétrolière

Les autres : Shell, IBM, et j’en passe …

Leur argent a permis un certain nombre d’actions secrètes, comme la guerre au Nigeria, afin de conquérir sa partie pétrolière, ainsi que des trafics d’armes, des coups d’état , des guerres civiles.

Tout cela a été alimenté par des circuits parallèles, par la surfacturation des gros cahiers, par un certain nombres de petites entreprises de sécurité, dans l’environnement pétrolier, qui faisaient payer trois fois leur prestation, (la différence servait à leurs bonnes œuvres) ou bien par l’émission de coopération, avec des petites sociétés barbouzardes, qui leur facturaient trois fois le prix, pour se mettre de coté la différence et pouvoir mener leurs actions parallèles ;

C’est donc toutes sortes de mécanismes, qui ont permis de pomper le fric et de tirer une bonne partie de la substance de la rente des ressources africaines, et de l’extraire notamment grâce au franc CFA .

Le Franc CFA





On nous dis toujours : « Le franc CFA, c’est un cadeau fait à l’Afrique »

Revenons sur l’étymologie : CFA signifie tout de même, « Colonie Française d’Afrique », il ne faut pas l’oublier. Il s’agit d’ un franc convertible .

Lorsque l’on fait un don, ou un prêt à l’Afrique, l’avion repart aussi vite, de Yaoundé, ou de Lomé, pour aller en SUISSE, où les billets neufs, grâce à la convertibilité du franc CFA, sont transformés très simplement en devise, et partagés entre les décideurs français, et les responsables africains.

Une partie de la dette de l’Afrique, s’explique ainsi .

  • Ceci est le mécanisme le plus simple , il y en a de plus compliqués, mais le principe reste toujours le même.



  • La convertibilité du franc CFA, a été l’instrument le plus sûr d’extraire une grande partie des ressources de l’Afrique.


L’arnaque de l’aide au développement





Lorsque l’on parle de la rente public au matières premières, il faudrait rajouté la rente public d’aide au développement.

Pendant 10 ans, nous nous sommes battus, pour faire en sorte, que les 40 milliards d’aide public au développement, de nos impôts, (que nous croyons servir pour l’aide public au développement) , aillent en partie à destination .

C’est tardivement, que nous nous sommes aperçu que 98 % de ces 40 milliards servent à autre chose qu’à lutter contre la pauvreté. La moitié est détournée , l’autre sert à des objectifs de prestige, ou à des politiques d’influence. Il y a à peine 2% (en étant généreux), qui sert à lutter contre la faim, ou le problème de pauvreté. Et plus fort encore, l’aide public française par habitant est d’autant plus importante que le pays est riche.

Certaines statistiques montrent clairement que si vous comparez l’aide public française par habitant, avec la richesse d’exportation des pays , plus le pays est riche, plus il est aidé , et plus il est pauvre, moins il est aidé.. Et on pille tellement les pays riches, qu’il faut mettre un peu d’aide pour empêcher qu’ils ne s’écroulent !

On voit bien donc à quoi ça sert et où va l’argent.

A travers les comptes en suisse et le détournement de milliards avec le franc CFA, il est partagé entre les décideurs français, des grosses entreprises implantées en Afrique, et les décideurs politiques africains, dont souvent la fortune est égale à la dette de leur pays !

L’armée





Pourquoi la présence d’une armée française, au Gabon, au Tchad, en Côte d’Ivoire ? L’époque coloniale est pourtant révolue , pas si sûr …

L’armée française a une autonomie à peu près complète sur le terrain en Afrique de la façon la plus légale possible, bien qu’ en principe, il n’est pas (ou plus) question pour la France d’intervenir directement dans un éventuel rétablissement de l’ordre, même si pour le Gabon par exemple, l’accord de défense entre Paris et Libreville actuellement en vigueur, signé le 17 août 1960 lors de l’accession du pays à l’indépendance, prévoit que la République gabonaise « peut, avec l’accord de la République française, faire appel aux forces armées françaises pour sa défense intérieure et extérieure ». Une « Convention spéciale relative au maintien de l’ordre », signée en 1961, est d’ailleurs restée secrète.

La Françafrique c’est donc le degré zéro de l’indépendance !



Que ce soit au niveau politique, au niveau monétaire, au niveau économique, au niveau militaire. Tous les généraux et officier, sont formés en France, recrutés et ont une carrière plus rapide que ceux qui entrent dans les cercle d’initiés. Ces généraux, deviennent assez souvent d’ailleurs, chefs d’état, et sont dans un copinage permanent, avec les réseaux militaires de la françafrique, c’est un mécanisme, de captation de l’indépendance total.

Quant aux chefs d’état amis, ils ont à leurs cotés, un officier de la DGSE, qui est chargé de veiller, à la sécurité de ce chef d’état ou de le débarquer, du jour au lendemain, quand il a cessé de plaire.

Conflits ethniques








Lors de l’ incroyable poussée démocratique dans les années 90 , le discours des prétendant concistant à dire « Elisez moi, parce que je veux le bien et le développement du peuple. » ne marche plus

La solution occulte utilisée fut donc l’arme ultime des politiques, qui es l’arme du bouc émissaire : l’arme de la manipulation de l’ethnisme : » Si vous ne votez pas pour moi, ce sera l’ethnie détestée, qui prendra ma place ! »

C’est ce qui s’est passé au Rwanda, ce qui a failli se passer en Cote d’Ivoire, et qui menace une certain nombre de pays d’afrique. Ils attisent les conflits, « parlent de paix le jour et vendent des armes la nuits »( Tiken Jah Fakoly, chanteur)

Les rivalités sont bien sûr présentes comme partout, mais des conflits ethniques, des rivalités sont provoqués volontairement pour opposer les gens les uns aux autres. Les victimes sont les populations africaines, car de quelques camps que ce soit, elles sont massacrées.

Trucage des votes





Mitterrand a déclaré en 1990 :
(…)Vive la démocratie en Afrique, on va vous aidé, on va vous fournir des urnes transparentes, des bulletins, pour que le peuple puisse élire ses dirigeants (…)

Ce discours séducteurs a rassemblé de manière incroyable et les urnes n’ont jamais été autant surveillées, (jours et nuits).

Quand 70 ou 80 % votaient pour chasser le dictateur, parallèlement on envoyait dans la capitale, auprès des ordinateurs chargés de centraliser les résultats, des coopérants spéciaux, issu des réseaux de Pasqua ou de la mairie de paris, (où en fraude électoral on est relativement adroit !), armés de logiciels. afin que les 80 % de vote contre le tyran, se transforment en 80 % de vote pour le tyran, ou en 52 % s’il était modeste ..

Cette technique a été utilisée dans 50 élections majeures, en Afrique, (il n’y a eu que 2 ou 3 exceptions)

Quand une dictature menace d’être renversée, voilà que la France hurle à l’interruption du processus démocratique ! Au Sénégal, où il y avait un régime ultra corrompu, le peuple a trouvé la parade en jumelant, les téléphones portable, et les radios locales, et en annonçant en direct, les résultats, court-circuitant les manœuvres avec les réseaux françafricains, .

C’est pour cette raison que l‘on a retardé l’apparition des portables au Tchad…

L’argent





Il y a un circuit d’argent qui relève de certaines lignes budgétaires et qui n’est pas contrôlé. Cet argent sert à financer des opérations dont nous n’avons pas la moindre idée. Quant à la gestion : Que dit-on aux dirigeants ? « Enrichissez vous, confondez l’argent public et l’argent privé, donnez l’exemple de la corruption »

En passant du service public, au self service public généralisé, la corruption qui monte, la baisse du cour des matières premières, le scandale de la dette .

Étonnant que ces pays ne se développent pas !



Des armes





C’est toute une série de services français qui apportent leur soutien aux armées de certains pays de françafrique comme au Soudan, par la livraison d’armes. En dehors de tout contrôle parlementaires, de toutes informations de l’opinion publique, ils échappent biensûr à toute expertise. Cela nous concerne tous !

Qui paye ?




Ce sont les contribuables africains, qui payent ou les citoyens parce qu ‘il n’y a plus de système de santé ni d’éducation, mais ce sont aussi les citoyens français qui vont devoir remboursé cette dette à des banques françaises, ou à des entreprises françaises.

Finalement, cette françafrique, qui profite à un tout petit nombre de gens en France, et en Afrique, se fait au détriment de l’Afrique pillée et opprimée, mais aussi , des citoyens français, qui sont tenus dans une désinformation complète de ce qui se passent, qui ne savent pas ce qui se passe, et qui ne l’imaginent même pas..

La désinformation des médias





L’information en France est globalement, exécrable. Ou alors il font une désinformation caractérisée . C’est à dire que l’on vous décrit les combats en Afrique, comme « des combats de nègres dans un tunnel « (Francois X versache). On donne donc une image caricaturale de l’Afrique et derrière cela, on nous dit : « regardez , ce sont des sauvages »,

Quand Mitterrand nous explique : « (…) Vous savez, les ethnies, ça se dispute toujours, un génocide en Afrique, c’est pas très important (…) » C’est de la contre information et de la désinformation, et de l’information surtout raciste !

Les médias n’expliquent pas comment ces conflits sont nés, comment on apporte des armes, des mercenaires, comment on apporte de la coopération militaire, des instructeurs, comment les grandes banques françaises, financent ces conflits et c’est insupportables. !

Cette réalité de massacre et de violence serait donc quelques chose de naturelle, quant à nous, nous sommes les bons puisque que nous venons soigner derrière.

Les ONG





Les Ong sont comme les pays africains, il n ‘y a pas « les ONG », mais « tout « dans les ONG,

  • Il y a les ONG de solidarité, de développement, qui font du travail bien et peu connu, depuis des dizaines d’années

  • Les autres ONG, se donnent seulement bonne conscience dans des actes de charité, mais souvent sans résultat sur le terrain.

  • Les ONG d’urgence, n’interviennent , elles , qu’en cas de catastrophe humanitaires, ou plutôt des catastrophes politiques, ex : après le génocide au Rwanda, on a 2 millions de réfugiés au Zaïre.


Mais la solution ne peut pas être de soigner, seulement, après les crimes politiques, sans jamais parler du crime politique. C’est plutôt être dans une hypocrisie épouvantable !

La caste néocolonial de la GLNF





Quelques mots sur la grande loge nationale française.

La GLNF est une loge franc-maçonnique plutôt d’extrême droite , milieu para-mafieu, à laquelle est affiliée Idriss Débi, Sassou , Blaise Compaoré, Georges Rawiri, (jadis Omar Bongo) comme plusieurs autres généraux présidents des néo-colonies françaises et premiers ministres de la coopération successif.

Par son influence , une stratégie d’expansion très offensive, et dans une perspective élitiste, elle est passé de 6000 à 27 000 membres en 11 ans (88/99). elle est devenue cogérante du Gabon, et tout l’élite des pays et les dirigeants en font parti.

Elle a ouvert 10 loges au Togo, elle se flatte d’y compter parmi ses membres le 1er ministre et plusieurs membres de son cabinet. La plupart des grands corrupteurs français qui ont trempé dans la françafrique avec la complicité ou l’aveuglement des forces de l’ordre, sont franc-maçon, et dans les grands groupes qui travaillent pour l’Afrique, les directeurs sont souvent franc-maçons, tout comme les hauts responsables militaires de la coopérations.

La GLNF cible les centres nerveux du pouvoir et permet à Déby et Sassou de perpétuer leur dictatures criminelles ou leur démocratures prédatrices. L’Etat Major fraternel de Tf1 n’est pas pressé d’évoquer les crimes contre l’humanité de ces derniers. Ses réseaux sont très présents dans la justice , la police et la promotion immobilière. Ils sont emprunts d’une grande Solidarité « franc maçonnique » et cultivent le secret de leur méfaits.

Bien que l’on doit aux parlementaires franc-maçons, une grande partie de la législation social , aujourd’hui, la critique fuse de leur propre rangs. Le Grand Orient de France la qualifie même de « maçonnerie d’affaire » , et a décidé de rompre toute relation avec elle.

C’est la GLNF qui fait, créé et pose le plus de problème en devenant un lieu de la promotion social et politique, une coopérative médiocre constituant dans leur rang des organisateurs des réseaux de corruption., seule grande obédience à accepter des membres du front nationale .

Des solutions ?




L’argent ? (celui-ci n’arrivera pas à destination). Si vous voulez agir, ce sera par des engagements, une volonté, en commençant par s’exprimer, propager la vérité, dénoncer .

Quand bien même , tout ceci nous dépassent, et aucune leçon n’a véritablement été tirées dans ces actions en Afrique . Défaitiste ? Non… Fataliste !

Mais croyons-y tout de même en ce beau rêve ! :
Quand je serai chez moi à Qunu, aussi vieux que les collines des alentours , je continuerai de nourrir l’espoir qu’une nouvelle race de dirigeants est apparue dans mon pays, sur mon continent et dans le monde, qui ne permettra pas que l’on prive quiconque de liberté comme nous en avons été privés si longtemps, qui ne fasse de personne un réfugié (…) un être condamné à la famine (…) ou privé de sa dignité humaine, comme nous l’avons été . Nelson Mandela


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